1. |
Bruxelles les Voiles
03:14
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Tu me dis que je suis belle et je te crois
Dans les tours glacées du nord je me vois
Tu me dis qu’j’suis arc-en-ciel à chaque fois
Et dans tous les angles morts de chez toi.
Bruxelles, Bruxelles, je pars en vélo
Je danse sur la selle
Comme l’avion tout là-haut
Bruxelles, Bruxelles, zigzags et cours d’eau
Quand tu m’appelles, je t’aime un peu trop
Je voudrais te connaître sous tes voiles
Je voudrais regarder sous la toile
Je voudrais être l’une des éclaircies
Dans ton ciel qui passe du jaune au gris
Bruxelles, Bruxelles, je pars en vélo
Je danse sur la selle
Comme l’avion tout là-haut
Bruxelles, Bruxelles, zigzags et cours d’eau
Quand tu m’appelles, je t’aime un peu trop
Tu m’amuses et me berce dans tes courants
Dans tes lacs tes fontaines je suis nue complètement
Tes alarmes dans le ciel m’attrapent souvent
Dans tes rues sans repère je m’en remets au vent
Bruxelles, Bruxelles, je pars en vélo
Je danse sur la selle
Comme l’avion tout là-haut
Bruxelles, Bruxelles, zigzags et cours d’eau
Quand tu m’appelles, je t’aime un peu trop
Je t’aime un peu trop
Des p’tits chiens qui sonnent bien
Des histoires dans les coins
Des châteaux qui ouvrent leurs fenêtres
Des perruches au grand air
Des matelots du désert
Des portes entrouvertes
Bruxelles, Bruxelles, je pars en vélo
Je danse sur la selle
Comme l’avion tout là-haut
Bruxelles, Bruxelles, zigzags et cours d’eau
Quand tu m’appelles, je t’aime un peu trop
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2. |
Lundi Matin
03:32
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Lundi matin sur le bitume
Le même refrain, une petite brume
Sur le chemin j’ai r’mis mon costume
De petit pantin comme d’habitude
Je suis un animal de type commercial
Un personnage urbain, un animal humain
Lundi matin j’ai rendez-vous
Le même refrain à moitié fou
J’ai dans mes mains le passe-partout
Du petit requin, du petit voyou
Je suis un animal de type commercial
Un personnage urbain, un animal humain
J’m’arrête au rouge dès que j’le vois
Et quand j’traverse je marche droit
Je fais des lignes avec mes pas
Je suis sans fil mais connecté
Un personnage particulier
Un peu sensible et en danger
Mardi matin je continue
Le même refrain sur la même avenue
Sur mes empreintes je suis revenu
Chaque matin j’me suis jamais perdu
Je suis un animal de type commercial
Un personnage urbain, un animal humain
Je suis un animal de type commercial
Un personnage urbain, un animal humain
Je suis un animal
Un animal urbain
Un animal humain
Un animal
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3. |
Les Tiroirs
02:58
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Il y a dans les tiroirs de petites choses à part
Tournées vers le noir de petits résistants
Il y a des phrases courtes, des gimmicks en boucle
Toi tu fais des loops avec ces arrogants
Mais tout ça tu le sais, tout ça tu le sais
Tout ça tu le sais déjà
Tout ça tu le sais, tout ça tu le sais
Viens voir par là tu connais pas
Chercher dans les tiroirs fouiller les armoires
Remuer les histoires comme si t’étais enfant
Chercher la p’tite bête, n’en faire qu’à ta tête
Faudrait que t’arrêtes au moins pour l’instant
Mais tout ça tu le sais, tout ça tu le sais
Tout ça tu le sais déjà
Tout ça tu le sais, tout ça tu le sais
Viens voir par là tu connais pas
Tout ça tu le sais, tout ça tu le sais
Tout ça tu le sais déjà
Tout ça tu le sais, tout ça tu le sais
Viens voir par là tu connais pas
Là-bas on connait pas le danger
Là-bas on se sent exister
Là-bas on arrête de s’regarder
Là-bas on a envie de vibrer
Là-bas on se sent entier
Là-bas on a envie d’aimer
Là-bas on se sent apaisé
Là-bas on est vraiment rassasié
Mais tout ça tu le sais, tout ça tu le sais
Tout ça tu le sais déjà
Tout ça tu le sais, tout ça tu le sais
Viens voir par là tu connais pas
Il y a dans les tiroirs de p’tits rappels bizarres
Qui reviennent sans phare et qui mangent du pain
Il y a dans les assiettes tout un tas de restes
Des aliments qu’on laisse quand on n’a plus faim
Mais tout ça tu le sais, tout ça tu le sais
Tout ça tu le sais déjà
Tout ça tu le sais, tout ça tu le sais
Viens voir par là tu connais pas
Tout ça tu le sais, tout ça tu le sais
Tout ça tu le sais déjà
Tout ça tu le sais, tout ça tu le sais
Viens voir par là tu connais pas
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4. |
Tornetrask
03:47
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Je skiais sur un lac au cœur des volcans
A chaque pas ça craque dans l’infini blanc
J’étais dans la retenue, les mains qui tremblaient
Le vent comme une battue je ne savais pas nager
J’étais toute nue à la surface
Car j’avais peur qu’elle se casse
Sur les contours j’sentais d’l’amour
Me suis donnée à Tornetrask
Je skiais à travers la neige glacée
Je jouais avec la mer, les eaux et les reflets
J’étais toute nue à la surface
Car j’avais peur qu’elle se casse
Sur les contours j’sentais d’l’amour
Me suis donnée à Tornetrask
J’étais comme une mouche qui traçait des lignes
J’étais un point rouge sur la couche fine
Y’avait des rosaces autour des rochers
Je laissais mes traces sur le lac gelé
J’étais toute nue à la surface
Car j’avais peur qu’elle se casse
Sur les contours j’sentais d’l’amour
Me suis donnée à Tornetrask
J’étais sur le fil de bientôt disparaître
Mais à l’intérieur je venais de naître
Maintenant je fais corps avec les ruisseaux
C’est une belle mort de fondre dans les eaux
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5. |
Ottawa Chambre 703
03:51
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Je suis de passage dans une chambre d’hôtel
Au septième étage avec un peu de ciel
Je suis de passage pour la première fois
Jusqu’au prochain virage, je suis à Ottawa
Je suis de passage, y’a encore le parfum
De la femme de ménage, dans la salle de bain
Je suis de passage, sur la porte d’entrée
J’ai laissé le message
« Ne pas déranger »
Dans la chambre il y a le parfum d’une femme que j’connais pas
Partout elle a mis ses mains, mais ça ne se voit pas
Mais qui es-tu à nettoyer, mais qui es-tu à effacer
Mais qui es-tu à faire briller, à porter, à porter ?
Mais qui es-tu à nettoyer, mais qui es-tu à effacer
Mais qui es-tu à faire briller, à porter, à porter ?
Elle est de passage personne ne la voit
Elle fait le ménage quand on n’est pas là
Elle est de passage, elle s’est immiscée
Dans nos paysages même les plus secrets
Mais qui es-tu à nettoyer, mais qui es-tu à effacer
Mais qui es-tu à faire briller, à porter, à porter ?
Mais qui es-tu à nettoyer, mais qui es-tu à effacer
Mais qui es-tu à faire briller, à porter, à porter ?
Mais qui es-tu ?
Mais qui es-tu ?
Mais qui es-tu ?
Mais qui es-tu ?
Mais qui es-tu à nettoyer, mais qui es-tu à effacer
Mais qui es-tu à faire briller, à porter, à porter ?
Je suis de passage, je les ai laissées
Les traces de ses mains toujours affairées
Je suis de passage, déjà je m’en vais
Un regard se croise, vous pouvez entrer
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6. |
L'Araignée
03:53
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Elle descend petit à petit par paliers
Elle surprend avec ses figures et son agilité
Elle dessine toujours des fils, des fils, des fils et des traits
Sur la piste c’est la Queen, la Queen de la soirée
Je ne suis pas un nuisible
Que tu peux écraser
Je ne suis pas si hostile
Pourquoi t’as peur du danger ?
Je ne suis pas invisible
T’approches pas trop près
J’suis juste là sur mon fil
Laisse-moi donc me balancer
Elle s’expose à tous les rayons
Elle dispose de tous petits petits hameçons
Elle se glisse pour mieux les apprivoiser
Sur toutes les pistes qui la feront manger
Je ne suis pas un nuisible
Que tu peux écraser
Je ne suis pas si hostile
Pourquoi t’as peur du danger ?
Je ne suis pas invisible
T’approches pas trop près
J’suis juste là sur mon fil
Laisse-moi donc me balancer
Je ne suis pas un nuisible
Que tu peux écraser
Je ne suis pas si hostile
Pourquoi t’as peur du danger ?
Je ne suis pas invisible
T’approches pas trop près
J’suis juste là sur mon fil
Laisse-moi donc me balancer
Je ne suis pas un nuisible
Que tu peux écraser
Je ne suis pas si hostile
Pourquoi t’as peur du danger ?
Je ne suis pas invisible
T’approches pas trop près
J’suis juste là sur mon fil
Laisse-moi donc me balancer
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7. |
Ton Corps
03:22
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Sur la promenade de tes jambes y’a une file entière
Des bulles des nuages même en décembre
Des yeux plein de commentaires
Sur la promenade articulée de ta propre matière
Des regards qui glissent sur les objets comme sur ta chair
J’ai pas envie que tu me dises ce qu’il a mon corps
J’ai pas envie que tu l’méprises ou que tu l’adores
J’ai pas envie de commentaires, j’ai pas envie même de te plaire
J’ai pas envie d’être un décor, laisse-moi mon corps
Ton corps, ton corps, ton corps, ton corps, ton corps, ton corps, ton corps
Ton corps, ton corps, ton corps, ton corps, ton corps, ton corps, ton corps
Ton corps, ton corps, ton corps, ton corps, ton corps, ton corps, ton corps
Ton corps, ton corps, ton corps, ton corps, ton corps, ton corps, ton corps
Sur la promenade, sur toutes les plages, des yeux sont en repère
Faut-il se cacher pour être sage, faut-il toujours se taire ?
Sur la promenade ankylosée de tes remarques en l’air
Des regards qui glissent sur les objets comme sur ta chair
J’ai pas envie que tu me dises ce qu’il a mon corps
J’ai pas envie que tu l’méprises ou que tu l’adores
J’ai pas envie de commentaires, j’ai pas envie même de te plaire
J’ai pas envie d’être un décor, laisse-moi mon corps
Ton corps, ton corps, ton corps, ton corps, ton corps, ton corps, ton corps
Ton corps, ton corps, ton corps, ton corps, ton corps, ton corps, ton corps
Ton corps, ton corps, ton corps, ton corps, ton corps, ton corps, ton corps
Ton corps, ton corps, ton corps, ton corps, ton corps, ton corps, ton corps
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8. |
Ecoutez le Nord
04:02
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Je suis la goutte d’eau, j’ai cru qu’c’était l’hiver
J’ai séché sur ta peau au milieu du désert
J’étais dans un ruisseau j’ai dévalé la rue
Des gouttières aux dauphins partout j’ai vécu
Je suis la goutte d’eau du haut des glaciers
Là où tout là-haut l’air n’est pas pollué
J’ai frappé aux carreaux les jours de pluie seulement
Visité ton frigo quand j’avais le temps
Ecoutez le Nord, écoutez le Nord, écoutez le Nord
Ecoutez le Nord, écoutez le Nord, écoutez l’hiver
Ecoutez le Nord, écoutez le Nord, écoutez le Nord
Ecoutez le Nord, écoutez le Nord, écoutez la terre
Je suis la goutte d’eau, mon cycle est modifié
Même dans les cours d’eau je ne peux plus nager
Je suis invisible à tes yeux habitués
Je suis sur le fil toute prête à déborder
Ecoutez le Nord, écoutez le Nord, écoutez le Nord
Ecoutez le Nord, écoutez le Nord, écoutez l’hiver
Ecoutez le Nord, écoutez le Nord, écoutez le Nord
Ecoutez le Nord, écoutez le Nord, écoutez la terre
Je suis la goutte de trop qui fait déborder
Le vase et les photos d’la maison abandonnée
Là où vont les flots qui ne cessent de monter
Détruire tous les mots qu’ils se sont inventés
Ecoutez le Nord, écoutez le Nord, écoutez le Nord
Ecoutez le Nord, écoutez le Nord, écoutez l’hiver
Ecoutez le Nord, écoutez le Nord, écoutez le Nord
Ecoutez le Nord, écoutez le Nord, écoutez la terre
Ecoutez le Nord, écoutez le Nord, écoutez le Nord
Ecoutez le Nord, écoutez le Nord, écoutez l’hiver
Ecoutez le Nord, écoutez le Nord, écoutez le Nord
Ecoutez le Nord, écoutez le Nord, écoutez la terre
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9. |
Calme comme un Arbre
03:58
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Près des grilles d’un parc je me promenais
J’observais les racines sur le sol dessinées
Elles formaient des montagnes des collines et des prés
Elles cherchaient leur chemin sous le sol goudronné
Calme comme un arbre
Calme comme un arbre
Ils étaient là ces géants déployés
Derrière les barrières de sécurité
Immobiles tranquilles dociles et discrets
J’entendais peu à peu leur souffle monter
Calme comme un arbre
Calme comme un arbre
Sous le bitume les racines opèrent
Et créent des réseaux sans aucune frontière
Tous reliés par les mêmes ruisseaux
Les arbres se parlent sans dire un mot
Maintenus dans leur prison de goudron
Bientôt ils mettront le feu aux poudres
Maintenus dans leur prison de goudron
Bientôt ils mettront le feu aux poudres
Maintenus dans leur prison de goudron
Bientôt ils mettront le feu aux poudres
Maintenus dans leur prison de goudron
Bientôt ils mettront le feu aux poudres
Calme comme un arbre
Calme comme un arbre
Calme comme un arbre
Calme comme un arbre
Comme un arbre en toi y’a des lignes de lierre
Des artères et des veines tout le sang d’l’univers
Le chant sourd des collines, le secret des grillons
Dans le feu d’ta rétine, ta respiration
Raccroche-toi à la terre, tes deux jambes tes deux pieds
Y’a rien à poursuivre dans c’qui te fait tanguer
Ils résisteront toujours à l’urbain
Ils continueront après l’humain
Calme comme un arbre
Calme comme un arbre
Calme comme un arbre
Calme comme un arbre
Calme comme un arbre
Calme comme un arbre
Calme comme un arbre
Calme comme un arbre
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10. |
Le Déluge
03:02
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Ils étaient de marbre sous les arbres
Ils se protégeaient par paquets
Ils étaient collés sur du sable
Pour éviter les gouttes qui tombaient
Et la pluie c’était comme une faille
Tout ce qu’il fallait éviter
Se prendre de l’eau sur la taille
C’était comme une sorte de reflet
Y’a rien à faire, se laisser faire
Y’a rien à faire de nécessaire
Y’a rien à faire, se laisser faire
Y’a rien à faire
Ils étaient mouillés jusqu’aux entrailles
Les gouttes et les larmes se confondaient
C’est la pluie qui gagnait la bataille
Impossible de lui résister
Y’a rien à faire, se laisser faire
Y’a rien à faire de nécessaire
Y’a rien à faire, se laisser faire
Y’a rien à faire
Ils l’avaient annoncé à la radio
Ils avaient regardé la météo
Mais tous avaient été vraiment surpris
Par la puissance de l’eau et par le bruit
Y’a rien à faire, se laisser faire
Y’a rien à faire de nécessaire
Y’a rien à faire, se laisser faire
Y’a rien à faire
Y’a rien à faire, se laisser faire
Y’a rien à faire de nécessaire
Y’a rien à faire, se laisser faire
Y’a rien à faire
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11. |
La Montée des Eaux
03:46
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|||
Quand tu m’appelles je viens
T’as toujours l’air d’un p’tit chou
Et je laisse au lendemain
Les complexes et les tabous
Ça s’en va et ça revient
Et ça me fait toujours très chaud
Quand tu glisses avec tes mains,
Ça s’infiltre dans ma peau
Et ça monte et ça monte,
Ça monte
Et ça monte et ça monte,
Ça monte
Et ça monte et ça monte,
Ça monte
Et ça monte et ça monte,
Ça monte
Quand tu laisses aller tes doigts
Moi je laisse aller ma peau
J’aime quand tu visites en moi
Les rivières et les ruisseaux
Quand tu dessines au-delà
Des courants d’airs sur mon dos
Quand tu chuchotes parfois
C’est le tumulte dans mes eaux
Et ça monte et ça monte,
Ça monte
Et ça monte et ça monte,
Ça monte
Et ça monte et ça monte,
Ça monte
Et ça monte et ça monte,
Ça monte
Et ça monte et ça monte,
Ça monte
Et ça monte et ça monte,
Ça monte
Et ça monte et ça monte,
Ça monte
Et ça monte et ça monte,
Ça monte
Quand tu laisses aller la voix
Du grand fleuve sous ta peau
Quand tu éloignes de toi
Les barrages des cours d’eau
Quand tu explores en moi
La montée de toutes mes eaux
Quand tu goûtes à l’au-delà
C’est salé comme ma peau
Et ça monte et ça monte,
Ça monte
Et ça monte et ça monte,
Ça monte
Et ça monte et ça monte,
Ça monte
Et ça monte et ça monte,
Ça monte
Et ça monte et ça monte,
Ça monte
Et ça monte et ça monte,
Ça monte
Et ça monte et ça monte,
Ça monte
Et ça monte et ça monte,
Ça monte
Et ça monte et ça monte,
Ça monte
Et ça monte et ça monte,
Ça monte
Et ça monte et ça monte,
Ça monte
Et ça monte et ça monte,
Ça monte
Et ça monte et ça monte,
Ça monte
Et ça monte et ça monte,
Ça monte
Et ça monte et ça monte,
Ça monte
Et ça monte et ça monte,
Ça monte
Crié, oui j’ai crié
Crié, oui j’ai crié
Crié, oui j’ai crié
Crié, oui j’ai crié
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12. |
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Sur mon balcon on voit la mer et le défilé des oiseaux
Sur mon balcon y’a de l’air c’est l’été et il fait chaud
Toutes les fenêtres, toutes les fenêtres, toutes les fenêtres et les ruisseaux
Toutes les fenêtres, toutes les fenêtres, toutes les fenêtres et les ruisseaux
Sur mon balcon y’a d’la poussière quand j’vois toutes les fumées danser
Sur mon balcon c’est l’hiver j’vois des murs et des reflets
Toutes les fenêtres, toutes les fenêtres, toutes les fenêtres et les ruisseaux
Toutes les fenêtres, toutes les fenêtres, toutes les fenêtres et les ruisseaux
J’ai dessiné le soleil, j’ai dessiné les ruisseaux
J’ai dessiné les abeilles, j’ai dessiné les oiseaux
Toutes les fenêtres, toutes les fenêtres, toutes les fenêtres et les ruisseaux
Toutes les fenêtres, toutes les fenêtres, toutes les fenêtres et les ruisseaux
Sur mon balcon je me perds sur le carrelage brisé
Sur mon balcon de travers j’ai envie de m’échapper
Sur mon balcon la tête en l’air j’ai envie de voyager
Sur mon balcon quand tout est clair j’me repose dans l’cendrier
Toutes les fenêtres, toutes les fenêtres, toutes les fenêtres et les ruisseaux
Toutes les fenêtres, toutes les fenêtres, toutes les fenêtres et les ruisseaux
J’ai dessiné le soleil, j’ai dessiné les ruisseaux
J’ai dessiné les abeilles, j’ai dessiné les oiseaux
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Adélys Paris, France
Toujours vêtue de jaune, Adélys, " Lumière noble " en norvégien, ses chansons électro sont des rencontres avec l’urbain, l’eau et le corps. Attirée par le Grand Nord, entre la Normandie dont elle est originaire, Bruxelles, et Montréal, elle écrit, compose et produit des chansons, de véritables tableaux symboliques qui prônent le respect du vivant. ... more
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