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Toutes les Fen​ê​tres et les Ruisseaux

by Adélys

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    12 titres gorgés de soleil du Nord écrits entre la Normandie, la Belgique, le Canada et la Laponie qui parlent de l'eau, du corps, de l'urbain, du féminin, du respect du vivant

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1.
Tu me dis que je suis belle et je te crois Dans les tours glacées du nord je me vois Tu me dis qu’j’suis arc-en-ciel à chaque fois Et dans tous les angles morts de chez toi. Bruxelles, Bruxelles, je pars en vélo Je danse sur la selle Comme l’avion tout là-haut Bruxelles, Bruxelles, zigzags et cours d’eau Quand tu m’appelles, je t’aime un peu trop Je voudrais te connaître sous tes voiles Je voudrais regarder sous la toile Je voudrais être l’une des éclaircies Dans ton ciel qui passe du jaune au gris Bruxelles, Bruxelles, je pars en vélo Je danse sur la selle Comme l’avion tout là-haut Bruxelles, Bruxelles, zigzags et cours d’eau Quand tu m’appelles, je t’aime un peu trop Tu m’amuses et me berce dans tes courants Dans tes lacs tes fontaines je suis nue complètement Tes alarmes dans le ciel m’attrapent souvent Dans tes rues sans repère je m’en remets au vent Bruxelles, Bruxelles, je pars en vélo Je danse sur la selle Comme l’avion tout là-haut Bruxelles, Bruxelles, zigzags et cours d’eau Quand tu m’appelles, je t’aime un peu trop Je t’aime un peu trop Des p’tits chiens qui sonnent bien Des histoires dans les coins Des châteaux qui ouvrent leurs fenêtres Des perruches au grand air Des matelots du désert Des portes entrouvertes Bruxelles, Bruxelles, je pars en vélo Je danse sur la selle Comme l’avion tout là-haut Bruxelles, Bruxelles, zigzags et cours d’eau Quand tu m’appelles, je t’aime un peu trop
2.
Lundi Matin 03:32
Lundi matin sur le bitume Le même refrain, une petite brume Sur le chemin j’ai r’mis mon costume De petit pantin comme d’habitude Je suis un animal de type commercial Un personnage urbain, un animal humain Lundi matin j’ai rendez-vous Le même refrain à moitié fou J’ai dans mes mains le passe-partout Du petit requin, du petit voyou Je suis un animal de type commercial Un personnage urbain, un animal humain J’m’arrête au rouge dès que j’le vois Et quand j’traverse je marche droit Je fais des lignes avec mes pas Je suis sans fil mais connecté Un personnage particulier Un peu sensible et en danger Mardi matin je continue Le même refrain sur la même avenue Sur mes empreintes je suis revenu Chaque matin j’me suis jamais perdu Je suis un animal de type commercial Un personnage urbain, un animal humain Je suis un animal de type commercial Un personnage urbain, un animal humain Je suis un animal Un animal urbain Un animal humain Un animal
3.
Les Tiroirs 02:58
Il y a dans les tiroirs de petites choses à part Tournées vers le noir de petits résistants Il y a des phrases courtes, des gimmicks en boucle Toi tu fais des loops avec ces arrogants Mais tout ça tu le sais, tout ça tu le sais Tout ça tu le sais déjà Tout ça tu le sais, tout ça tu le sais Viens voir par là tu connais pas Chercher dans les tiroirs fouiller les armoires Remuer les histoires comme si t’étais enfant Chercher la p’tite bête, n’en faire qu’à ta tête Faudrait que t’arrêtes au moins pour l’instant Mais tout ça tu le sais, tout ça tu le sais Tout ça tu le sais déjà Tout ça tu le sais, tout ça tu le sais Viens voir par là tu connais pas Tout ça tu le sais, tout ça tu le sais Tout ça tu le sais déjà Tout ça tu le sais, tout ça tu le sais Viens voir par là tu connais pas Là-bas on connait pas le danger Là-bas on se sent exister Là-bas on arrête de s’regarder Là-bas on a envie de vibrer Là-bas on se sent entier Là-bas on a envie d’aimer Là-bas on se sent apaisé Là-bas on est vraiment rassasié Mais tout ça tu le sais, tout ça tu le sais Tout ça tu le sais déjà Tout ça tu le sais, tout ça tu le sais Viens voir par là tu connais pas Il y a dans les tiroirs de p’tits rappels bizarres Qui reviennent sans phare et qui mangent du pain Il y a dans les assiettes tout un tas de restes Des aliments qu’on laisse quand on n’a plus faim Mais tout ça tu le sais, tout ça tu le sais Tout ça tu le sais déjà Tout ça tu le sais, tout ça tu le sais Viens voir par là tu connais pas Tout ça tu le sais, tout ça tu le sais Tout ça tu le sais déjà Tout ça tu le sais, tout ça tu le sais Viens voir par là tu connais pas
4.
Tornetrask 03:47
Je skiais sur un lac au cœur des volcans A chaque pas ça craque dans l’infini blanc J’étais dans la retenue, les mains qui tremblaient Le vent comme une battue je ne savais pas nager J’étais toute nue à la surface Car j’avais peur qu’elle se casse Sur les contours j’sentais d’l’amour Me suis donnée à Tornetrask Je skiais à travers la neige glacée Je jouais avec la mer, les eaux et les reflets J’étais toute nue à la surface Car j’avais peur qu’elle se casse Sur les contours j’sentais d’l’amour Me suis donnée à Tornetrask J’étais comme une mouche qui traçait des lignes J’étais un point rouge sur la couche fine Y’avait des rosaces autour des rochers Je laissais mes traces sur le lac gelé J’étais toute nue à la surface Car j’avais peur qu’elle se casse Sur les contours j’sentais d’l’amour Me suis donnée à Tornetrask J’étais sur le fil de bientôt disparaître Mais à l’intérieur je venais de naître Maintenant je fais corps avec les ruisseaux C’est une belle mort de fondre dans les eaux
5.
Je suis de passage dans une chambre d’hôtel Au septième étage avec un peu de ciel Je suis de passage pour la première fois Jusqu’au prochain virage, je suis à Ottawa Je suis de passage, y’a encore le parfum De la femme de ménage, dans la salle de bain Je suis de passage, sur la porte d’entrée J’ai laissé le message « Ne pas déranger » Dans la chambre il y a le parfum d’une femme que j’connais pas Partout elle a mis ses mains, mais ça ne se voit pas Mais qui es-tu à nettoyer, mais qui es-tu à effacer Mais qui es-tu à faire briller, à porter, à porter ? Mais qui es-tu à nettoyer, mais qui es-tu à effacer Mais qui es-tu à faire briller, à porter, à porter ? Elle est de passage personne ne la voit Elle fait le ménage quand on n’est pas là Elle est de passage, elle s’est immiscée Dans nos paysages même les plus secrets Mais qui es-tu à nettoyer, mais qui es-tu à effacer Mais qui es-tu à faire briller, à porter, à porter ? Mais qui es-tu à nettoyer, mais qui es-tu à effacer Mais qui es-tu à faire briller, à porter, à porter ? Mais qui es-tu ? Mais qui es-tu ? Mais qui es-tu ? Mais qui es-tu ? Mais qui es-tu à nettoyer, mais qui es-tu à effacer Mais qui es-tu à faire briller, à porter, à porter ? Je suis de passage, je les ai laissées Les traces de ses mains toujours affairées Je suis de passage, déjà je m’en vais Un regard se croise, vous pouvez entrer
6.
L'Araignée 03:53
Elle descend petit à petit par paliers Elle surprend avec ses figures et son agilité Elle dessine toujours des fils, des fils, des fils et des traits Sur la piste c’est la Queen, la Queen de la soirée Je ne suis pas un nuisible Que tu peux écraser Je ne suis pas si hostile Pourquoi t’as peur du danger ? Je ne suis pas invisible T’approches pas trop près J’suis juste là sur mon fil Laisse-moi donc me balancer Elle s’expose à tous les rayons Elle dispose de tous petits petits hameçons Elle se glisse pour mieux les apprivoiser Sur toutes les pistes qui la feront manger Je ne suis pas un nuisible Que tu peux écraser Je ne suis pas si hostile Pourquoi t’as peur du danger ? Je ne suis pas invisible T’approches pas trop près J’suis juste là sur mon fil Laisse-moi donc me balancer Je ne suis pas un nuisible Que tu peux écraser Je ne suis pas si hostile Pourquoi t’as peur du danger ? Je ne suis pas invisible T’approches pas trop près J’suis juste là sur mon fil Laisse-moi donc me balancer Je ne suis pas un nuisible Que tu peux écraser Je ne suis pas si hostile Pourquoi t’as peur du danger ? Je ne suis pas invisible T’approches pas trop près J’suis juste là sur mon fil Laisse-moi donc me balancer
7.
Ton Corps 03:22
Sur la promenade de tes jambes y’a une file entière Des bulles des nuages même en décembre Des yeux plein de commentaires Sur la promenade articulée de ta propre matière Des regards qui glissent sur les objets comme sur ta chair J’ai pas envie que tu me dises ce qu’il a mon corps J’ai pas envie que tu l’méprises ou que tu l’adores J’ai pas envie de commentaires, j’ai pas envie même de te plaire J’ai pas envie d’être un décor, laisse-moi mon corps Ton corps, ton corps, ton corps, ton corps, ton corps, ton corps, ton corps Ton corps, ton corps, ton corps, ton corps, ton corps, ton corps, ton corps Ton corps, ton corps, ton corps, ton corps, ton corps, ton corps, ton corps Ton corps, ton corps, ton corps, ton corps, ton corps, ton corps, ton corps Sur la promenade, sur toutes les plages, des yeux sont en repère Faut-il se cacher pour être sage, faut-il toujours se taire ? Sur la promenade ankylosée de tes remarques en l’air Des regards qui glissent sur les objets comme sur ta chair J’ai pas envie que tu me dises ce qu’il a mon corps J’ai pas envie que tu l’méprises ou que tu l’adores J’ai pas envie de commentaires, j’ai pas envie même de te plaire J’ai pas envie d’être un décor, laisse-moi mon corps Ton corps, ton corps, ton corps, ton corps, ton corps, ton corps, ton corps Ton corps, ton corps, ton corps, ton corps, ton corps, ton corps, ton corps Ton corps, ton corps, ton corps, ton corps, ton corps, ton corps, ton corps Ton corps, ton corps, ton corps, ton corps, ton corps, ton corps, ton corps
8.
Je suis la goutte d’eau, j’ai cru qu’c’était l’hiver J’ai séché sur ta peau au milieu du désert J’étais dans un ruisseau j’ai dévalé la rue Des gouttières aux dauphins partout j’ai vécu Je suis la goutte d’eau du haut des glaciers Là où tout là-haut l’air n’est pas pollué J’ai frappé aux carreaux les jours de pluie seulement Visité ton frigo quand j’avais le temps Ecoutez le Nord, écoutez le Nord, écoutez le Nord Ecoutez le Nord, écoutez le Nord, écoutez l’hiver Ecoutez le Nord, écoutez le Nord, écoutez le Nord Ecoutez le Nord, écoutez le Nord, écoutez la terre Je suis la goutte d’eau, mon cycle est modifié Même dans les cours d’eau je ne peux plus nager Je suis invisible à tes yeux habitués Je suis sur le fil toute prête à déborder Ecoutez le Nord, écoutez le Nord, écoutez le Nord Ecoutez le Nord, écoutez le Nord, écoutez l’hiver Ecoutez le Nord, écoutez le Nord, écoutez le Nord Ecoutez le Nord, écoutez le Nord, écoutez la terre Je suis la goutte de trop qui fait déborder Le vase et les photos d’la maison abandonnée Là où vont les flots qui ne cessent de monter Détruire tous les mots qu’ils se sont inventés Ecoutez le Nord, écoutez le Nord, écoutez le Nord Ecoutez le Nord, écoutez le Nord, écoutez l’hiver Ecoutez le Nord, écoutez le Nord, écoutez le Nord Ecoutez le Nord, écoutez le Nord, écoutez la terre Ecoutez le Nord, écoutez le Nord, écoutez le Nord Ecoutez le Nord, écoutez le Nord, écoutez l’hiver Ecoutez le Nord, écoutez le Nord, écoutez le Nord Ecoutez le Nord, écoutez le Nord, écoutez la terre
9.
Près des grilles d’un parc je me promenais J’observais les racines sur le sol dessinées Elles formaient des montagnes des collines et des prés Elles cherchaient leur chemin sous le sol goudronné Calme comme un arbre Calme comme un arbre Ils étaient là ces géants déployés Derrière les barrières de sécurité Immobiles tranquilles dociles et discrets J’entendais peu à peu leur souffle monter Calme comme un arbre Calme comme un arbre Sous le bitume les racines opèrent Et créent des réseaux sans aucune frontière Tous reliés par les mêmes ruisseaux Les arbres se parlent sans dire un mot Maintenus dans leur prison de goudron Bientôt ils mettront le feu aux poudres Maintenus dans leur prison de goudron Bientôt ils mettront le feu aux poudres Maintenus dans leur prison de goudron Bientôt ils mettront le feu aux poudres Maintenus dans leur prison de goudron Bientôt ils mettront le feu aux poudres Calme comme un arbre Calme comme un arbre Calme comme un arbre Calme comme un arbre Comme un arbre en toi y’a des lignes de lierre Des artères et des veines tout le sang d’l’univers Le chant sourd des collines, le secret des grillons Dans le feu d’ta rétine, ta respiration Raccroche-toi à la terre, tes deux jambes tes deux pieds Y’a rien à poursuivre dans c’qui te fait tanguer Ils résisteront toujours à l’urbain Ils continueront après l’humain Calme comme un arbre Calme comme un arbre Calme comme un arbre Calme comme un arbre Calme comme un arbre Calme comme un arbre Calme comme un arbre Calme comme un arbre
10.
Le Déluge 03:02
Ils étaient de marbre sous les arbres Ils se protégeaient par paquets Ils étaient collés sur du sable Pour éviter les gouttes qui tombaient Et la pluie c’était comme une faille Tout ce qu’il fallait éviter Se prendre de l’eau sur la taille C’était comme une sorte de reflet Y’a rien à faire, se laisser faire Y’a rien à faire de nécessaire Y’a rien à faire, se laisser faire Y’a rien à faire Ils étaient mouillés jusqu’aux entrailles Les gouttes et les larmes se confondaient C’est la pluie qui gagnait la bataille Impossible de lui résister Y’a rien à faire, se laisser faire Y’a rien à faire de nécessaire Y’a rien à faire, se laisser faire Y’a rien à faire Ils l’avaient annoncé à la radio Ils avaient regardé la météo Mais tous avaient été vraiment surpris Par la puissance de l’eau et par le bruit Y’a rien à faire, se laisser faire Y’a rien à faire de nécessaire Y’a rien à faire, se laisser faire Y’a rien à faire Y’a rien à faire, se laisser faire Y’a rien à faire de nécessaire Y’a rien à faire, se laisser faire Y’a rien à faire
11.
Quand tu m’appelles je viens T’as toujours l’air d’un p’tit chou Et je laisse au lendemain Les complexes et les tabous Ça s’en va et ça revient Et ça me fait toujours très chaud Quand tu glisses avec tes mains, Ça s’infiltre dans ma peau Et ça monte et ça monte, Ça monte Et ça monte et ça monte, Ça monte Et ça monte et ça monte, Ça monte Et ça monte et ça monte, Ça monte Quand tu laisses aller tes doigts Moi je laisse aller ma peau J’aime quand tu visites en moi Les rivières et les ruisseaux Quand tu dessines au-delà Des courants d’airs sur mon dos Quand tu chuchotes parfois C’est le tumulte dans mes eaux Et ça monte et ça monte, Ça monte Et ça monte et ça monte, Ça monte Et ça monte et ça monte, Ça monte Et ça monte et ça monte, Ça monte Et ça monte et ça monte, Ça monte Et ça monte et ça monte, Ça monte Et ça monte et ça monte, Ça monte Et ça monte et ça monte, Ça monte Quand tu laisses aller la voix Du grand fleuve sous ta peau Quand tu éloignes de toi Les barrages des cours d’eau Quand tu explores en moi La montée de toutes mes eaux Quand tu goûtes à l’au-delà C’est salé comme ma peau Et ça monte et ça monte, Ça monte Et ça monte et ça monte, Ça monte Et ça monte et ça monte, Ça monte Et ça monte et ça monte, Ça monte Et ça monte et ça monte, Ça monte Et ça monte et ça monte, Ça monte Et ça monte et ça monte, Ça monte Et ça monte et ça monte, Ça monte Et ça monte et ça monte, Ça monte Et ça monte et ça monte, Ça monte Et ça monte et ça monte, Ça monte Et ça monte et ça monte, Ça monte Et ça monte et ça monte, Ça monte Et ça monte et ça monte, Ça monte Et ça monte et ça monte, Ça monte Et ça monte et ça monte, Ça monte Crié, oui j’ai crié Crié, oui j’ai crié Crié, oui j’ai crié Crié, oui j’ai crié
12.
Sur mon balcon on voit la mer et le défilé des oiseaux Sur mon balcon y’a de l’air c’est l’été et il fait chaud Toutes les fenêtres, toutes les fenêtres, toutes les fenêtres et les ruisseaux Toutes les fenêtres, toutes les fenêtres, toutes les fenêtres et les ruisseaux Sur mon balcon y’a d’la poussière quand j’vois toutes les fumées danser Sur mon balcon c’est l’hiver j’vois des murs et des reflets Toutes les fenêtres, toutes les fenêtres, toutes les fenêtres et les ruisseaux Toutes les fenêtres, toutes les fenêtres, toutes les fenêtres et les ruisseaux J’ai dessiné le soleil, j’ai dessiné les ruisseaux J’ai dessiné les abeilles, j’ai dessiné les oiseaux Toutes les fenêtres, toutes les fenêtres, toutes les fenêtres et les ruisseaux Toutes les fenêtres, toutes les fenêtres, toutes les fenêtres et les ruisseaux Sur mon balcon je me perds sur le carrelage brisé Sur mon balcon de travers j’ai envie de m’échapper Sur mon balcon la tête en l’air j’ai envie de voyager Sur mon balcon quand tout est clair j’me repose dans l’cendrier Toutes les fenêtres, toutes les fenêtres, toutes les fenêtres et les ruisseaux Toutes les fenêtres, toutes les fenêtres, toutes les fenêtres et les ruisseaux J’ai dessiné le soleil, j’ai dessiné les ruisseaux J’ai dessiné les abeilles, j’ai dessiné les oiseaux

credits

released September 1, 2023

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Adélys Paris, France

Toujours vêtue de jaune, Adélys, " Lumière noble " en norvégien, ses chansons électro sont des rencontres avec l’urbain, l’eau et le corps. Attirée par le Grand Nord, entre la Normandie dont elle est originaire, Bruxelles, et Montréal, elle écrit, compose et produit des chansons, de véritables tableaux symboliques qui prônent le respect du vivant. ... more

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